jeudi 22 octobre 2009

Conseil de l'Ordre

Le mardi 22 septembre, je signalai avoir envoyé « aux 95 conseils départementaux de l’ordre des médecins de métropole » un lien internet. Ce lien internet permettait de découvrir mon petit témoignage personnel concernant le fonctionnement du Conseil de l’Ordre des Médecins, que le président François Mitterrand qualifiait d’ « offense à la démocratie » et souhaitait supprimer, en 1981.
Comme par ailleurs je signalai également « n’[avoir] pas encore obtenu de réaction, ou plutôt d’explication, à mes interrogations et à mon mécontentement » que j’avais exprimés le 12 août au même conseil départemental de l’ordre des médecins, il me paraît normal, aujourd’hui, et un mois plus tard, d’informer le lecteur de ce qu’il en est. En effet, 30 jours constituent un délai à l’issue duquel un courrier –ou un courriel, du Conseil Départemental Ordre des Médecins de l’Essonne, à Corbeil Essonnes, a eu le temps de parvenir dans l’Allier, à Cusset. Par exemple.
En tout et pour tout j’ai reçu une réponse. Celle du docteur Gérard Ayache, secrétaire général du Conseil Départemental Ordre des Médecins de Seine et Marne. En voici ci-dessous la copie avec ma réponse :








J’ai cherché dans le Robert les termes qui, à mon sens, sont susceptibles de qualifier au mieux le Docteur Gérard Ayache :

1) Abruti, ie adj. 1 Abruti de, par, hébété. « Immobile, abruti d’étonnement et de souffrance » (Maupassant) 2 FAM. Sans Intelligence. Ce type est complètement abruti. => idiot, stupide. n. Personne stupide. Espèce d’abruti !
(Le docteur Gérard Ayache ne parvient pas à comprendre qu’un message émanant de « Pierre-Louis Guyot » et signé PLG ne peut en aucun cas provenir d’une « madame ». Il ne parvient pas à comprendre non plus qu’après 13 courriers adressés au conseil ordre des médecins pour un effet nul –comme expliqué dans le document qui lui a été transmis, on n’a plus trop envie d’en écrire un quatorzième.)

2) Alcoolique adj. I 1. Qui contient de l’alcool. Les boissons alcooliques. => alcoolisé. 2. Qui boit trop d’alcool. Il est alcoolique. n. Personne atteinte d’alcoolisme. Un, une alcoolique. abrév. FAM. ALCOOLO. II Relatif aux alcools(II)
(Le docteur Gérard Ayache a fait montre de l’incompréhension signalée ci-dessus parce qu’il était ivre mort le vendredi 2 octobre à 15h50)

3) Provocateur, trice n. (latin => provoquer) 1 rare au fém. Personne qui provoque, incite à la violence. => agitateur. 2. Personne qui incite qqn, un groupe à la violence, à l’illégalité, dans l’intérêt du pouvoir ou d’un parti opposé. Adj. Agent provocateur.
( Le docteur Gérard Ayache a parfaitement compris mon mécontentement. Il a remarqué que, parmi les noms de médecins qui ont traité mon affaire, les noms juifs sont surreprésentés par rapport à leur proportion dans l’ensemble de la population française. Il a également remarqué, bien évidemment, que j’incrimine en particulier mon ancien médecin et le président du conseil national de l’ordre des médecins qui portent un nom juif -pour l’un, et un nom juif et la kippa -pour l’autre. Par conséquent, il parie sur le fait qu’à la lecture de sa réponse « Madame, Monsieur Pierre-Louis Guyot » va perdre patience et révéler enfin au grand jour sa véritable nature d’antisémite néo-nazi en répondant du tac au tac « va niquer ta mère enculé de youtre. » Auquel cas il va me poursuivre en justice en vertu de l’article R 624-4 alinéa 1 du code pénal et de l’article 29 alinéa 2 de la loi du 29 juillet 1881 (injure raciale non publique –contravention de 4ème classe punie de 750,00 Euros d’amende), éventuellement en vertu de l’article R 624-4 alinéa.2 du code pénal et de l’article 29 alinéa 2 de la loi du 29 juillet 1881 (injure non publique à raison de l’orientation sexuelle –contravention de 4ème classe punie de 750,00 Euros d’amende), et, surtout, en vertu d’un arrêt de la cour de cassation (jurisprudence n°36 de l’article 1 de la loi du 29 juillet 1881) qui permet d’obtenir des dommages et intérêts sur le fondement de l’article 1382 du code civil. Intérêt de la démarche : grâce à cette provocation à laquelle j’ai eu le malheur de répondre, d’une part il va gagner de l’argent, et d’autre part il va me décrédibiliser aux yeux de l’opinion en me faisant passer pour un primate antisémite. De cette façon les accusations que je porte à l’encontre du Dr Michel Legmann dans l’acte 2 de « après le calme l’orage » ne relèveront plus que des motivations haineuses et méprisables d’un raciste mythomane « capable de monter des opérations qui sont indignes ». (« [Il] tient à le dire publiquement »)

Par conséquent, je viens d’envoyer au Dr André Deseur, président du Conseil Départemental Ordre des Médecins de Seine et Marne un courriel lui demandant s’il trouvait normal qu’un secrétaire général de conseil départemental de l’ordre des médecins soit un abruti, un alcoolique ou un provocateur.
C’est une « supposition de ma part ».
Comme j’ai observé que lorsque un médecin psychiatre « suppose » qu’un de ses anciens patients est un fou le conseil national ordre des médecins n’hésite pas à rendre cette « supposition » « publique par affichage », j’ai décidé, moi aussi, de rendre ma « supposition » « publique par affichage ».

Enfin, signalons quand même au lecteur que le conseil départemental Ordre des Médecins de Seine et Marne s’était illustré il y a une douzaine d’années de cela, notamment en la personne … du Dr André Deseur. Le conseil menaçait de poursuivre les médecins qui souhaitaient adhérer à la nouvelle convention médicale de l’époque. Pour le Dr Richard Bouton, alors président du syndicat de généralistes MG-France, «le conseil de l'ordre de Seine-et-Marne [tentait] d'intimider les médecins en les menaçant de poursuites pour qu'ils n'adhèrent à aucune des conventions médicales. C'[était] tout à fait inadmissible. Au final, c’[étaient] les patients qui en [faisaient] les frais». (Libération du 3 mai 1997)