mardi 13 octobre 2009

Faurisson le trouble-"fête"?

Avec son autorisation, je publie aujourd'hui un message que m'a envoyé le professeur Robert Faurisson il y a quelques jours.

PLG


En ce 9 octobre 2009, “Bocage” nous livre la traduction (rapide) en français d’une lettre adressée par le révisionniste américain Bradley Smith notamment au président de l’Université Harvard.

Il faut savoir que B. Smith avait envoyé à tous les journaux d’étudiants de toutes les universités de son pays un texte de nature révisionniste à publier (contre argent comptant) dans ces journaux.
Toutes ces universités ont refusé la publication de son texte sauf, PAR MIRACLE, l’une des plus prestigieuses, des plus riches et des plus juives : Harvard !!!
Comme le dit “Bocage”, cette publication “n’en finit pas de faire des vagues”.

Pour ma part, je dirais que cette affaire nous confirme qu’ il y a de plus en plus d’eau dans le gaz.

RF

Comme indiqué, la lettre de B. Smith date du 5 octobre. On en trouvera l’original à sous le titre “The Taboo Against Free Inquiry at Harvard University”.
Blog: http://bradleysmithsblog.blogspot.com/
Web: www.codoh.com
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“BOCAGE”
L'annonce passée par le révisionniste américain Bradley Smith dans "The Crimson", journal des étudiants de Harvard, n'en finit pas de faire des vagues.
Voici le communiqué que B. Smith vient d'adresser non seulement au président mais à tous les membres de l'administration de l'université, à toutes les organisations d'étudiants et à toute la presse sur l'ensemble du pays (traduction rapide):


President Drew Faust Office of the President Harvard University
Massachusetts Hall Cambridge, MA 02138 USA

5 Octobre 2009

Monsieur le Président,


Il semble que le corps enseignant de Harvard ait adopté une stratégie consistant à refuser de poser des questions sur les armes de destruction massive allemandes de la deuxième guerre mondiale (les chambres à gaz). Il semble également que, vu son silence, ce même corps enseignant de Harvard estime qu'il n'est pas convenable de mettre en question la "monstruosité unique" des Allemands, et qu'il ne veuille pas apporter son soutien aux étudiants de Harvard qui seraient prêts à un libre échange d'idées sur ces deux points. Le Bureau du Président soutient-il ce tabou? Je n'ai rien entendu qui me laisse penser que ce n'est pas le cas.

Le 8 septembre, le "Harvard Crimson" a publié mon annonce où je demandais pourquoi le général Dwight D. Eisenhower, dans [ses mémoires] "Crusade in Europe", avait choisi (choisi!) de ne pas mentionner les armes de destruction massive allemandes de la deuxième guerre mondiale, les "chambres à gaz". Mon annonce posait la question: "Pourquoi donc?" J'y demandais également qu'un professeur, quelqu'un, de l'Université de Harvard, me fournisse "preuve à l'appui, le nom d'une personne tuée dans une chambre à gaz d'Auschwitz".
Le 9 septembre, Maxwell L. Child, président du "Harvard Crimson", s'est cru obligé de présenter ses excuses pour avoir publié cette annonce, disant que le texte "contestait que l'Holocauste ait eu lieu" (il ne le contestait pas) et qu'il avait provoqué la colère de beaucoup de membres de la communauté de Harvard. Les responsables du "Crimson" ont alors publié une lettre spécifiant "Nous estimons qu'une telle annonce [sur ces questions] ne devrait jamais figurer dans les pages d'un journal d'étudiants".
Pas un membre du corps enseignant de Harvard n'a tenté de répondre à l'une ou l'autre de mes questions et il ne semble pas qu'un seul membre de ce corps enseignant de Harvard ait apporté son soutien aux étudiants journalistes du "Crimson" qui avaient été favorables à la publication de l'annonce. Quand les courriels, coups de téléphone et lettres se sont déversés sur le "Crimson" en provenance de groupes à-intérêt-spécial appartenant au campus ou extérieurs au campus, le corps enseignant de Harvard a joué le rôle de "spectateur" et laissé dans le pétrin les journalistes du "Crimson".

Monsieur le Président, pourquoi pensez-vous qu'il ne se trouve pas un universitaire, à Harvard, pour accepter de répondre à deux questions simples sur les armes de destruction massive allemandes? Pourquoi pensez-vous que le corps enseignant de Harvard refuse de soutenir des journalistes du "Crimson" qui sont en faveur d'un libre échange d'idées sur la question? Est-ce que le Bureau du Président confirme qu'il existe à Harvard un tabou interdisant de s'interroger sur l'opinion orthodoxe (celle de l'Etat) relative aux armes de destruction massive allemandes?
Ne pensez-vous pas qu'il est normal que les étudiants de Harvard soient au courant du fait que Dwight D. Eisenhower ait choisi (choisi!) de ne pas mentionner les chambres à gaz dans son "Crusade in Europe"? du fait que Winston Churchill, dans les 6 tomes de son "Histoire de la 2e guerre mondiale", ait choisi de ne pas mentionner les chambres à gaz? du fait que Charles De Gaulle ait choisi de ne pas mentionner les chambres à gaz allemandes dans ses "Mémoires"? du fait que, alors que le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, rien que le mois dernier, s'est adressé à l'Assemblée générale des Nations unies pour proclamer que les protocoles de Wannsee contenaient des renseignements "précis" sur l'extermination des juifs, les gens qui ont produit ces protocoles aient choisi de ne pas mentionner les chambres à gaz? Que pense le corps enseignant de Harvard de cette "précision"? Exactement?
Peut-être estimez-vous que poser des questions critiques sur les armes de destruction massive allemandes c'est faire preuve de "haine". Si c'est le cas, c'est que vous considérez le fait de poser de telles questions comme un problème moral. Je le vois, moi aussi, comme un problème moral mais d'un point de vue, à mes yeux, différent. Je considère comme immoral de supprimer la liberté intellectuelle à Harvard, comme de la supprimer où que ce soit. Je considère comme immoral que le corps enseignant de Harvard (ou tout autre corps enseignant) ne vienne pas en aide à des étudiants qui ont fait le choix d'un libre échange d'idées et d'une presse libre; qu'il est immoral que le corps enseignant de Harvard exploite un tabou interdisant à des étudiants de s'interroger sur une accusation de monstruosité unique régulièrement portée contre autrui.
Le corps enseignant de Harvard a le droit d'être sceptique face à chacun des arguments révisionnistes mettant en doute les armes de destruction massive allemandes. Le scepticisme, ce n'est pas un péché. Les révisionnistes sont sceptiques face aux allégations officielles concernant les ADM allemandes et ils ont publié une vaste documentation expliquant les raisons de leur scepticisme. A ma connaissance, il n'y a pas un seul professeur à Harvard qui ait publié dans un seul journal évalué par ses pairs un seul article qui illustrerait l'inanité d'un texte révisionniste fondamental sur les ADM allemandes. Le scepticisme du corps enseignant de Harvard, alors, ne fait que révéler sa crédulité.

Monsieur le Président, estimez-vous normal que le Bureau du Président permette et même approuve qu'un tabou l'emporte sur la liberté intellectuelle à Harvard? qu'un tabou puisse servir à interdire un libre débat dans des publications d'étudiants sur la question de l'utilisation par les Allemands d'armes de destruction massive? Si c'est le cas, à quoi devrai-je distinguer un membre de votre faculté adepte de ce tabou particulier d'un membre du culte du cargo des mers du Sud adepte de quelque autre tabou? A ses pantalons?

Merci de votre attention

Bradley R. Smith, Fondateur du Committee for Open Debate on the Holocaust [Comité pour un débat public sur l'Holocauste]
PO Box 439016
San Ysidro, California 92143
Bureau: 209 682 5327
Courriel: bradley1930@yahoo.com
Site: www.codoh.com

NOTE: J'enverrai copie de cette lettre à quelques-uns de vos collègues ainsi qu'à d'autres personnes qui, je pense, devraient être intéressées.