«La machine judiciaire, qui n’a plus les moyens humains et matériels de traiter les contentieux de masse échoue le plus souvent à traiter les violences urbaines. Or la lutte n’est pas que du ressort de la police et de la gendarmerie, loin s’en faut. La criminalité ne diminuera pas sur le long terme si, aux côtés de la police et de la gendarmerie nationales, la justice, associée aux travailleurs sociaux, n’est pas en mesure d’assumer sa mission. Il est inutile d’interpeller des délinquants si, au bout de la chaîne, ces derniers ne font l’objet ni de poursuites ni de sanctions. Or les magistrats eux-mêmes reconnaissent que, dans 25% des sursis avec mise à l’épreuve, l’épreuve n’existe pas, que 40% des amendes correctionnelles ne sont jamais recouvrées et que 40% des condamnations à moins d’un an de détention ferme (c’est la grande majorité) ne sont jamais mises à exécution.
Ainsi, police et gendarmerie nationales arrêtent approximativement 30 % des auteurs d’infractions, dont la justice poursuit 25%, sur lesquels 50% voient leur peine effectivement sanctionnée. Qui plus est, les magistrats chargés de l’application des peines remettent souvent dehors plutôt que prévu des gens dont les actes ont pourtant été préalablement sanctionnés. Chaque éducateur des SPIP (service pénitentiaire d’insertion et de probation du ministère de la justice) doit suivre annuellement près de 270 individus. Dans ces conditions, la surveillance et l’accompagnement de ces personnes ne sont que purement théoriques et nécessairement peu efficaces. » (Alain Bauer/Xavier Raufer, Christophe Soullez, Violences urbaines, PUF, 2006(!))
Un jour, un scorpion se baladait au bord d’une rivière. Il aurait bien voulu passer de l’autre côté, mais il ne savait pas nager. Or, une grenouille arriva :
"bonjour Grenouille, j’aimerais bien me rendre en face: peux-tu me porter sur ton dos ?
– non, dit la grenouille, tu me piquerais.
– pourquoi ferais-je cela puisque nous coulerions tous les deux ?
– oui c’est vrai… mais alors je ne te porterai que pendant la traversée
– c’est d’accord, répondit le scorpion. »
Et il grimpa sur le dos de la grenouille.
Parvenue à mi-parcours, elle ressentit une grande douleur et s’arrêta de nager: le scorpion venait de la piquer.
« Pourquoi m’as-tu piquée Scorpion ? s’écria-t-elle, nous allons mourir tous les deux !
- je n’y peux rien dit le scorpion, c’est dans ma nature."
Article 1382 du code civil (loi datant de 1804) :
«Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.»Article 1383 :
«Chacun est responsable du dommage qu’il a causé non seulement par son fait, mais encore par sa négligence ou par son imprudence.»
=> trouver un pigeon à plumer:Extrait du discours du président de la république française, tenu le 16 juillet 1995 :
«Oui, la folie criminelle de l’occupant a été, chacun le sait, secondée par des français, secondée par l’Etat français.»
Article 1315 du code civil :
«Celui qui réclame l’exécution d’une obligation doit la prouver».
(Cet article implique notamment que celui qui se prévaut d’une créance doit apporter la preuve de l’existence de cette créance – c’est un principe de droit bien connu.)
=> apporter la preuve que le pigeon a commis, directement ou non, une faute:Comme c’est là que ça se complique (cf. «l’arme du crime»), il faut une petite loi ad hoc, même si elle est bancale (cf. «nemo judex in causa sua»).
Article 24 bis (loi du 13/07/1990 –dite « loi Gayssot »)
«Seront punis (…) ceux qui auront contesté (…) l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international [de Nuremberg] »
Le crime existe puisque la loi l’affirme. Dont acte.
Depuis une quinzaine d’années, la jurisprudence reconnaît la nécessité d’apporter non seulement la preuve de l’existence d’une créance, mais également la preuve de son montant (voir Cass. 1ère civ. 28/03/1995)
=> fixer une bonne fois pour toutes l’assiette de la faute: 6 millions de morts. (Avec majorations et intérêts de retards, ça nous fait pour la quotité disponible, euh… attends…)
«La minoration outrancière (NDLA : c’est-à-dire ?) du nombre des victimes de la politique d’extermination dans les camps de concentration caractérise le délit de contestation de crimes contre l’humanité (…) lorsqu’elle est faite de mauvaise foi (NDLA : c’est-à-dire ? la mauvaise foi de Monseigneur Williamson ? si c’est Rabbi Aboultonfricz, ça passe ?) » Crim. 29 janv. 1998
Ainsi, police et gendarmerie nationales arrêtent approximativement 30 % des auteurs d’infractions, dont la justice poursuit 25%, sur lesquels 50% voient leur peine effectivement sanctionnée. Qui plus est, les magistrats chargés de l’application des peines remettent souvent dehors plutôt que prévu des gens dont les actes ont pourtant été préalablement sanctionnés. Chaque éducateur des SPIP (service pénitentiaire d’insertion et de probation du ministère de la justice) doit suivre annuellement près de 270 individus. Dans ces conditions, la surveillance et l’accompagnement de ces personnes ne sont que purement théoriques et nécessairement peu efficaces. » (Alain Bauer/Xavier Raufer, Christophe Soullez, Violences urbaines, PUF, 2006(!))
Un jour, un scorpion se baladait au bord d’une rivière. Il aurait bien voulu passer de l’autre côté, mais il ne savait pas nager. Or, une grenouille arriva :
"bonjour Grenouille, j’aimerais bien me rendre en face: peux-tu me porter sur ton dos ?
– non, dit la grenouille, tu me piquerais.
– pourquoi ferais-je cela puisque nous coulerions tous les deux ?
– oui c’est vrai… mais alors je ne te porterai que pendant la traversée
– c’est d’accord, répondit le scorpion. »
Et il grimpa sur le dos de la grenouille.
Parvenue à mi-parcours, elle ressentit une grande douleur et s’arrêta de nager: le scorpion venait de la piquer.
« Pourquoi m’as-tu piquée Scorpion ? s’écria-t-elle, nous allons mourir tous les deux !
- je n’y peux rien dit le scorpion, c’est dans ma nature."
Article 1382 du code civil (loi datant de 1804) :
«Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.»Article 1383 :
«Chacun est responsable du dommage qu’il a causé non seulement par son fait, mais encore par sa négligence ou par son imprudence.»
=> trouver un pigeon à plumer:Extrait du discours du président de la république française, tenu le 16 juillet 1995 :
«Oui, la folie criminelle de l’occupant a été, chacun le sait, secondée par des français, secondée par l’Etat français.»
Article 1315 du code civil :
«Celui qui réclame l’exécution d’une obligation doit la prouver».
(Cet article implique notamment que celui qui se prévaut d’une créance doit apporter la preuve de l’existence de cette créance – c’est un principe de droit bien connu.)
=> apporter la preuve que le pigeon a commis, directement ou non, une faute:Comme c’est là que ça se complique (cf. «l’arme du crime»), il faut une petite loi ad hoc, même si elle est bancale (cf. «nemo judex in causa sua»).
Article 24 bis (loi du 13/07/1990 –dite « loi Gayssot »)
«Seront punis (…) ceux qui auront contesté (…) l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international [de Nuremberg] »
Le crime existe puisque la loi l’affirme. Dont acte.
Depuis une quinzaine d’années, la jurisprudence reconnaît la nécessité d’apporter non seulement la preuve de l’existence d’une créance, mais également la preuve de son montant (voir Cass. 1ère civ. 28/03/1995)
=> fixer une bonne fois pour toutes l’assiette de la faute: 6 millions de morts. (Avec majorations et intérêts de retards, ça nous fait pour la quotité disponible, euh… attends…)
«La minoration outrancière (NDLA : c’est-à-dire ?) du nombre des victimes de la politique d’extermination dans les camps de concentration caractérise le délit de contestation de crimes contre l’humanité (…) lorsqu’elle est faite de mauvaise foi (NDLA : c’est-à-dire ? la mauvaise foi de Monseigneur Williamson ? si c’est Rabbi Aboultonfricz, ça passe ?) » Crim. 29 janv. 1998
A présent faisons quelques comptes ( tout au moins une esquisse!):
Extrait de l’article 15 des statuts de la fondation pour la mémoire de la Shoah (David de Rothschild), signés le 13 mai 2009 à Paris et contresignés le 7 octobre de la même année par Brice Hortefeux:
«La dotation de la fondation est de 393 162 509 euros qui se décomposent ainsi:
Extrait de l’article 15 des statuts de la fondation pour la mémoire de la Shoah (David de Rothschild), signés le 13 mai 2009 à Paris et contresignés le 7 octobre de la même année par Brice Hortefeux:
«La dotation de la fondation est de 393 162 509 euros qui se décomposent ainsi:
- Etat : 224 816 566 Euros
- Caisse des dépôts et consignations : 45 734 705 Euros
- Banque de France : 10 854 370 Euros
- Association française des établissements de crédit des entreprises et d’investissement : 100 000 000 euros
- Fédération française des sociétés d’assurance : 10 671 431 Euros
Pour rappel, en 1939, on comptait environ 300 000 juifs en France.
Autre fondation: La "Fondation CASIP-COJASOR" (Eric de Rothschild), reconnue d'utilité publique le 29 décembre 1999 et dont les activités ont débuté le 1er janvier 2000 –le site internet vaut le détour!).
"Le CASIP (Comité d'Action Sociale Israélite de Paris) est une institution, elle-même issue du CBIP (Comité de Bienfaisance Israélite de Paris), créée le 24 octobre 1809 sous l'égide du Consistoire israélite de France. C'est en 1963 qu'il prit le nom de CASIP. Dès sa création, il oeuvra dans la lutte contre la pauvreté au sein de la communauté juive de Paris.", nous dit-on.
"Le CASIP (Comité d'Action Sociale Israélite de Paris) est une institution, elle-même issue du CBIP (Comité de Bienfaisance Israélite de Paris), créée le 24 octobre 1809 sous l'égide du Consistoire israélite de France. C'est en 1963 qu'il prit le nom de CASIP. Dès sa création, il oeuvra dans la lutte contre la pauvreté au sein de la communauté juive de Paris.", nous dit-on.
Je n’ai pas eu le temps de trouver ses statuts ou ses comptes : le montant de sa dotation m’est donc inconnu.
En revanche, l’année dernière, les parisiens (via Delanoë & Cie) lui ont versé un « avenant » (!) de 276.871 euros (» 2010 DFPE 144 : Signature d'un avenant à la convention passée avec la Fondation CASIP-COJASOR (Comité d'Action Sociale Israélite de Paris et Comité Juif d'Action Sociale et de Reconstruction) pour l'attribution d'une subvention pour le fonctionnement de la halte-garderie Susanne et David Levy (20e). - Montant : 276.871 euros.)
Les franciliens en général –via Jean-Paul Huchon, pour leur part, se sont fendus en 2007 d’une subvention de 19 967,00 €
Les franciliens en général –via Jean-Paul Huchon, pour leur part, se sont fendus en 2007 d’une subvention de 19 967,00 €
Quelques repères éthologiques :
«Si nous reprenons l’expérience [de Pavlov] de la salivation (…), mais que nous remplaçons le bruit de la sonnerie par une petite décharge électrique toujours envoyée au même endroit du corps, l’expérience prend une toute autre signification. En utilisant un très faible courant électrique, on parvient facilement à créer le réflexe conditionnel (décharge électrique=viande= salivation). On augmente alors régulièrement le courant électrique jusqu’à ce qu’il devienne, en principe, douloureux. Normalement, lors d’une décharge électrique douloureuse, le chien devrait prendre la fuite (c’est un réflexe inné de défense). Or, ce n’est pas ce qui se passe : malgré le courant électrique douloureux, le chien agite la queue en salivant. Il se fait que la réaction absolue, normale, de défense a été supprimée (inhibée) et a été remplacée par le réflexe conditionnel alimentaire. Assistant à cette démonstration qui interpelle, un grand physiologiste aurait dit : « je comprends maintenant la psychologie des martyrs !» (Ghéorghïï Grigorieff, psychologie de base, Eyrolles, Paris, 2008, p.26)
«Si nous reprenons l’expérience [de Pavlov] de la salivation (…), mais que nous remplaçons le bruit de la sonnerie par une petite décharge électrique toujours envoyée au même endroit du corps, l’expérience prend une toute autre signification. En utilisant un très faible courant électrique, on parvient facilement à créer le réflexe conditionnel (décharge électrique=viande= salivation). On augmente alors régulièrement le courant électrique jusqu’à ce qu’il devienne, en principe, douloureux. Normalement, lors d’une décharge électrique douloureuse, le chien devrait prendre la fuite (c’est un réflexe inné de défense). Or, ce n’est pas ce qui se passe : malgré le courant électrique douloureux, le chien agite la queue en salivant. Il se fait que la réaction absolue, normale, de défense a été supprimée (inhibée) et a été remplacée par le réflexe conditionnel alimentaire. Assistant à cette démonstration qui interpelle, un grand physiologiste aurait dit : « je comprends maintenant la psychologie des martyrs !» (Ghéorghïï Grigorieff, psychologie de base, Eyrolles, Paris, 2008, p.26)
Une des forces du totalitarisme shoahtique est que les résultats des révisionnistes sont de toute manière, pour la plupart des gens, inacceptables psychologiquement.
Pour tenter de comprendre quelques ressorts de l’acceptation d’un éventuel « mensonge » aussi énorme, pendant un laps de temps aussi long, par des groupes de personnes aussi importants, on pourrait citer pêle-mêle (les effets étant conjugués) : l’expérience de Stanley Milgram (s’il faut obéir, on obéira, quelles que soient les conséquences), l’expérience de Solomon Asch (le pouvoir du conformisme social est très grand), l’expérience de Standford (la situation crée le comportement), l’expérience de Washington (il est très facile de créer de faux souvenirs chez autrui). A quoi il faudrait ajouter tous les enseignements de la psychologie des « foules » : principe de suggestibilité/contagion, loi d’unité mentale/ et d’évanouissement de la personnalité consciente, sentiment d’impunité, intolérance, etc.
Le matraquage médiatique et son évolution constituent la pierre d’angle de l’édifice : pour en apprécier l’importance, j’ai effectué une enquête portant sur la représentation comparative de trois sujets à la télévision :
- La seconde guerre mondiale (sous toutes ses formes : documentaires et films)
- La première guerre mondiale (même remarque)
- La thématique « juive » dans la seconde guerre mondiale (shoah, collaboration, déportation, etc.)
Le principe général, très simple, est de compter le nombre d’occurrences de chaque thématique dans une même année et de comparer avec une autre année, suffisamment distante de la première.
Afin de ne pas biaiser l’étude, il fallait éviter les dates « anniversaires » (1994, 1995, etc.)
Le choix s’est porté sur 1983 et 2008, dates « neutres »: 70 ans d’écart de 1913 et 1983 et 70 ans d’écart de 1938 à 2008.
Afin de ne pas biaiser l’étude, il fallait éviter les dates « anniversaires » (1994, 1995, etc.)
Le choix s’est porté sur 1983 et 2008, dates « neutres »: 70 ans d’écart de 1913 et 1983 et 70 ans d’écart de 1938 à 2008.
=> Alors que la proportion des émissions –au sens large, portant soit sur la 2nde guerre mondiale, soit sur la première, a diminué de manière sensible en 70 ans, la proportion des émissions portant sur la thématique « juive » a explosé – multiplication par un facteur voisin de 3.
=> En 2008, c’est presque une émission sur deux se rapportant à la seconde guerre mondiale qui est concernée par la thématique « juive ».
=> En 2008, c’est presque une émission sur deux se rapportant à la seconde guerre mondiale qui est concernée par la thématique « juive ».
- «Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique qui a permis un gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficaires sont l’Etat d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand –mais non pas ses dirigeants- et le peuple palestinien tout entier.» (Robert Faurisson, Entretien avec Ivan Levaï, Europe n°1, 17 décembre 1980)
Revenons à la fondation Shouniah :
« En vertu des principes traditionnels du droit français, le gouvernement à la haute surveillance des fondations reconnues et doit veiller à ce que leurs conseils d’administration se conforment aux lois ainsi qu’à leur charte propre, à ce qu’ils accomplissent les volontés des fondateurs et bienfaiteurs, et administrent régulièrement le patrimoine qu’ils représentent ; en conséquence, d’une façon générale et lors même qu’aucun article des statuts ne le prévoit ni aucune disposition légale, la puissance publique est en droit d’exiger de ces établissements, afin de vérifier la régularité de leur fonctionnement, la communication sans déplacement de tous renseignements, pièces ou documents de nature à lui permettre de connaître exactement leur situation et d’apprécier leur activité, de telle sorte que puisse, en cas de nécessité, être prononcé, par décret en Conseil d’Etat, le retrait de la reconnaissance d’utilité publique et, par voie de conséquence, la dissolution de l’établissement.
(CE 28 juin 1949, avis n°248022 : Juris assoc., fasc.2110, n°126)
« En vertu des principes traditionnels du droit français, le gouvernement à la haute surveillance des fondations reconnues et doit veiller à ce que leurs conseils d’administration se conforment aux lois ainsi qu’à leur charte propre, à ce qu’ils accomplissent les volontés des fondateurs et bienfaiteurs, et administrent régulièrement le patrimoine qu’ils représentent ; en conséquence, d’une façon générale et lors même qu’aucun article des statuts ne le prévoit ni aucune disposition légale, la puissance publique est en droit d’exiger de ces établissements, afin de vérifier la régularité de leur fonctionnement, la communication sans déplacement de tous renseignements, pièces ou documents de nature à lui permettre de connaître exactement leur situation et d’apprécier leur activité, de telle sorte que puisse, en cas de nécessité, être prononcé, par décret en Conseil d’Etat, le retrait de la reconnaissance d’utilité publique et, par voie de conséquence, la dissolution de l’établissement.
(CE 28 juin 1949, avis n°248022 : Juris assoc., fasc.2110, n°126)
Considérant que j’ai à disposition l’intégralité des bilans et comptes de résultats de la fondation Shouniah pour les années 2009, 2008 et 2007, ainsi que ses statuts, toute personne intéressée par une saisine de la cour des comptes et par toute autre démarche peut se manifester par voie électronique ou postale, afin d’examiner les modalités d’une action groupée.
PLG.
20120126: Bouteldja relaxée: ce n'est guère étonnant (sauf cas de force majeure du type "shoah", en France on ne condamne pas quelqu'un sur ses intentions ou sentiments supposés, mais sur des faits précis et précisément qualifiables).
Ensuite, pour qui connaît le monde de la banlieue -et plus précisément le monde "arabo-banlieusard", il y a un culot qu'on pourrait penser réservé aux shoahtistes (je crois d'ailleurs que Soral établissait très justement une similitude de comportement entre les deux):
"Bernard Antony a prétendu lors du procès que notre porte-parole entendait en réalité injurier les « vrais » Français en les traitant de manière plus ou moins masquée de « sous-chiens ». Une extrapolation parfaitement gratuite comme nous l’avons signifié maintes et maintes fois et sur laquelle il n’est plus besoin de revenir."
Il serait donc "parfaitement gratuit" d'imaginer l'espace d'un instant qu'il existe un lien entre le terme "chien" -qui possède une connotation toute particulière dans le monde arabo-musulman
(cf. Coran VII; 176-177: "ka matali l kalbi") et son emploi par une franco-algérienne comme Bouteldja focalisée sur la "lutte anti-coloniale" et la guerre d'Algérie.
Ensuite, pour qui connaît le monde de la banlieue -et plus précisément le monde "arabo-banlieusard", il y a un culot qu'on pourrait penser réservé aux shoahtistes (je crois d'ailleurs que Soral établissait très justement une similitude de comportement entre les deux):
"Bernard Antony a prétendu lors du procès que notre porte-parole entendait en réalité injurier les « vrais » Français en les traitant de manière plus ou moins masquée de « sous-chiens ». Une extrapolation parfaitement gratuite comme nous l’avons signifié maintes et maintes fois et sur laquelle il n’est plus besoin de revenir."
Il serait donc "parfaitement gratuit" d'imaginer l'espace d'un instant qu'il existe un lien entre le terme "chien" -qui possède une connotation toute particulière dans le monde arabo-musulman
(cf. Coran VII; 176-177: "ka matali l kalbi") et son emploi par une franco-algérienne comme Bouteldja focalisée sur la "lutte anti-coloniale" et la guerre d'Algérie.