Vous a t-on déjà parlé du formidable magazine "Psychologies" de monsieur Servan-Schreiber?
Le dernier numéro du formidable magazine "Psychologies" de monsieur Servan-Schreiber est encore plus formidable que les autres.
C'est du Grand Journalisme.
C'est un condensé de ce que la Science fait de mieux.
C'est de la vulgarisation sans être vulgaire.
C'est subtil.
C'est sain.
Ca fait du bien.
A la fin, le lecteur se sent plus intelligent.
Ca coûte seulement 4,00 Euros.
En voici quelques extraits (en vis-à-vis des images, est parfois proposé un petit résumé à but didactique):
L'édito -par Jean-Rodolphe de Mesdeux: "Fion"
L'atelier d'écriture:
avec l'Haï-Cul, en trois vers et dix-sept syllabes, racontez comment vous avez fourré une chinoise.
Enquête exclusive: "Touffe"
Les éclaircissements de nos spécialistes sur un sujet sensible: "Chatte"
Notre Dossier de l'été. Amphibologies lacaniennes: une paraphrénie qui ne dit pas son nom? ... "FESSES".
Photographies pages 70 et 71: un doigt dans le c..
Photographies pages 74 et 75: t'as vu ma teub?
Photographies pages 80 et 81: waow! les méga nibards!
Photographie pages 84 et 85: éjaculation faciale
Conclusions propédeutiques: "Poils"
Avouez-le chères lectrices et chers lecteurs...
... c'était tout simplement passionnant.
Photographies pages 74 et 75: t'as vu ma teub?
Photographies pages 80 et 81: waow! les méga nibards!
Photographie pages 84 et 85: éjaculation faciale
Conclusions propédeutiques: "Poils"
Avouez-le chères lectrices et chers lecteurs...
... c'était tout simplement passionnant.
(Espérons que le Journal "La Montagne", comme à son habitude, n'a pas oublié de faire de la publicité au formidable magazine "Psychologies" de monsieur Servan Schreiber!)
Pour terminer ce petit billet, il est assez "amusant" de constater que l'idole de cette coterie journalistique est, bien sûr, Sigmund Fraud. (Le magazine propose même une sorte de pélerinage/voyage organisé sur les "terres de Freud" - oui: si jamais il y a potentiellement du fric à se faire, autant tenter le coup n'est-ce pas?)
Amusant parce que ledit Sigmund Freud écrivait par exemple en 1908 dans "La vie sexuelle" - attention ce n'est pas une blague de toto de sa part: "L'infériorité intellectuelle de tant de femmes, qui est une réalité indiscutable, doit être attribuée à l'inhibition de la pensée, inhibition requise pour la répression sexuelle" (dans l'édition de 1969, on peut trouver ça en page 42).
Première remarque: il est inutile de chercher humblement à comprendre ce que ces propos d'apparence savante peuvent bien signifier. En effet, et sans préjudice des autres travaux qui furent effectués depuis sur la question, on peut relever qu'un vrai scientifique comme le Dr Eysenck montrait déjà en 1973 que les travaux de Freud n'avaient presqu'aucune valeur scientifique, justement (cf. Eysenck, H&Wilson,G., "The experimental study of freudian theories", 1973). "Mais pourquoi personne n'est au courant M. Letouffet? - mais Madame: pensez au nombre de parasit... pardon de psys, de journalistes qui leur sont liés, de politiques en cheville clientéliste avec tout ce beau monde, qui se retrouveraient sur la paille ou emmerdés s'ils l'ouvraient!"
Deuxième remarque, en tant qu'homme, j'éprouverais probablement des difficultés à me réclamer de l'Ecole d'un(e) gourou(e) qui affirme que la gent masculine est complètement abrutie... Visiblement ce type de fierté sexuelle n'a pas l'air de concerner certaines psychologues/iatres/analystes: "Crache-moi dessus divin Freud! mmmh! encore!".Enfin, on pourra citer le psychanalyste "renégat" Jacques Van Rillaer: "Les historiens, qui ont voulu consulter les archives de Freud à Londres, se sont heurtés à l'interdiction de consulter de nombreux documents, en particulier une grande partie de la correspondance de Freud. Certains de ces documents - en particulier des lettres de Freud à Breuer -sont interdits d'accès jusqu'en 2113, un fait unique au monde! Aucun secret militaire n'est gardé à une telle échéance. L'embargo sur les archives a évidemment stimulé la curiosité de chercheurs. Manifestement Freud et les siens avaient des choses graves à cacher." (Bulletin de l'AFIS du printemps 2004, page 4).
Amusant parce que ledit Sigmund Freud écrivait par exemple en 1908 dans "La vie sexuelle" - attention ce n'est pas une blague de toto de sa part: "L'infériorité intellectuelle de tant de femmes, qui est une réalité indiscutable, doit être attribuée à l'inhibition de la pensée, inhibition requise pour la répression sexuelle" (dans l'édition de 1969, on peut trouver ça en page 42).
Première remarque: il est inutile de chercher humblement à comprendre ce que ces propos d'apparence savante peuvent bien signifier. En effet, et sans préjudice des autres travaux qui furent effectués depuis sur la question, on peut relever qu'un vrai scientifique comme le Dr Eysenck montrait déjà en 1973 que les travaux de Freud n'avaient presqu'aucune valeur scientifique, justement (cf. Eysenck, H&Wilson,G., "The experimental study of freudian theories", 1973). "Mais pourquoi personne n'est au courant M. Letouffet? - mais Madame: pensez au nombre de parasit... pardon de psys, de journalistes qui leur sont liés, de politiques en cheville clientéliste avec tout ce beau monde, qui se retrouveraient sur la paille ou emmerdés s'ils l'ouvraient!"
Deuxième remarque, en tant qu'homme, j'éprouverais probablement des difficultés à me réclamer de l'Ecole d'un(e) gourou(e) qui affirme que la gent masculine est complètement abrutie... Visiblement ce type de fierté sexuelle n'a pas l'air de concerner certaines psychologues/iatres/analystes: "Crache-moi dessus divin Freud! mmmh! encore!".Enfin, on pourra citer le psychanalyste "renégat" Jacques Van Rillaer: "Les historiens, qui ont voulu consulter les archives de Freud à Londres, se sont heurtés à l'interdiction de consulter de nombreux documents, en particulier une grande partie de la correspondance de Freud. Certains de ces documents - en particulier des lettres de Freud à Breuer -sont interdits d'accès jusqu'en 2113, un fait unique au monde! Aucun secret militaire n'est gardé à une telle échéance. L'embargo sur les archives a évidemment stimulé la curiosité de chercheurs. Manifestement Freud et les siens avaient des choses graves à cacher." (Bulletin de l'AFIS du printemps 2004, page 4).
PLG.